A la re9e9coute j'avais trouve9 ma remarque sur le on tvruoe ce qu'on cherche assez incompre9hensible Du coup je vais la repre9ciser ici :J'avais en teate ce qui est explique9 dans un excellent bouquin : de HM Collins que j'ai lu re9cemment. La the8se qu'il de9veloppe avec moults exemples est qu'il est tre8s difficile de savoir quant on a termine9 un travail de recherche et aboutit e0 une conclusion satisfaisante (et ce d'autant plus si l'on e9tudie quelque chose de nouveau). Que chaque recherche scientifique passe par nombres d’erreurs et qu'en gros le scientifique qui est persuade9 qu'on peut mesurer des variation dans le champ e9lectrostatique terrestre, apre8s quelques tentatives infructueuses, interpre9tera facilement du bruit (ou un quelconque autre phe9nome8ne) comme e9tant ces fameuses variations tandis qu'e0 l'inverse son colle8gue persuade9 que ces variations n'existent pas conclura de8s ses premie8res tentatives infructueuses que ces variations n'existent pas Dans les deux cas meame si les chercheurs sont parfaitement de bonne foi leurs apriori jouent e9norme9ment sur les conclusions qu'ils tirent de leurs expe9riences Cela n’empeache pas non plus la science de progresser car tout les chercheurs n'ont pas les meames aprioris et que le consensus apparait progressivement par accumulation d’expe9riences et d'avis.L'histoire de Flemming n'est donc pas un contre exemple (mais je t'accorde que c'e9tait un peu complique9 de comprendre ce que je voulais dire en se basant juste le podcast ^^). Certains chercheurs ayant cru puis abandonne9 la croyance en l'he9re9dite9 des caracte8res acquis serait un meilleur exemple.